« Comment lui avouer que vous êtes un garçon quand il ne se doute de rien ?
N’attendez surtout pas d’être dans la chambre à coucher !
Au contraire, sachez trouver le moment propice dès le premier rendez-vous, en conclusion d’un dîner au sortir d’un restaurant, au cours d’une discussion complice ou par une attitude qui le mettra sur la voie sans trop le choquer… »
Ce sont des conseils que l’on peut lire dans un magazine américain dont je préfère taire le nom, au sein d’une rubrique théoriquement spécialisée ès rencontres du troisième genre.
Avec des illustrations pour le moins étonnantes, telles celles ci-dessus.
Second degré, ou même troisième degré, d’un assez mauvais genre ? L’interprétation du “sans trop le choquer” laisse peut-être légèrement à désirer.
À moins que la méprise ne concerne davantage l’utilisation de l’adjectif “propice” ?