JINGLE BEAUX
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Hier, nous vous avions présenté une version “Jingle Belle” à la fois candide et primesautière. Cette séquence à destination des saints animés des meilleures intentions a pourtant suscité quelques récriminations féministes. Par souci d’équité et aussi parce que, de nos jours, on ne badine plus avec les questions de parité, nous équilibrons les débats en proposant la version mâle et assurée de cet hymne à la joie “réveillonniste”. Une interprétation peaufinée au quart de poil, qui la propulse sans conteste au pinacle des performances du genre ! Allez… Tintez Clochettes !