PREMIÈRE DINDE DE FRANCE
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Le coronavirus attaque-t-il le cerveau ? Nuit-il considérablement à l’intelligence ? On peut sincèrement se poser la question. Carla Bruni a apporté une réponse navrante au cours de la fashion week française, programmée de fin février à début mars dernier.
Lors du défilé Céline, après avoir claqué la bise à Sidney Toledano, le Président-Directeur général de LVMH, elle est partie en vrille dans un délire provoc d’un goût plus que douteux. « On se fait la bise, c’est dingue ! Parce qu’on est de la vieille génération, nous. On n’a peur de rien. On n’est pas féministe. On craint pas le coronavirus. Nada ! » a-t-elle fanfaronné, en faisant la maline devant le premier rang.
Le pire n’a pas tardé à suivre. Alors que projecteurs et caméras étaient braqués sur elle, et pour que son auditoire de pacotille n’en manque une miette, elle a averti : « Alors, je vais faire un truc. Regarde ! ». Puis, elle s’est mise à forcer des quintes de toux en direction de tout son entourage. Ses éructations sonores, disgracieuses au possible, en sidèrent plus d’un. Se tapotant la poitrine, agitant les mains devant sa bouche afin de bien disperser ses miasmes alentour, elle persista lourdement en allant s’assoir à côté du chanteur Benjamin Biolay. Visiblement gêné, pour ne pas dire affligé par une elle attitude, ce dernier lui enjoignit de cesser. On l’entend dire : « Non. Arrête maintenant ». Il ne faut pas tenter de faire de l’humour quand on n’est pas équipé pour…
Cela se passait le 28 février 2020, à quinze jours à peine du confinement national. Était-on si peu au fait de la gravité de la situation au sein du foyer Sarkozy ? Carla s’est-elle fait encoroner son intime conviction une fois de trop ? Est-elle soudainement devenue porteuse malsaine d’un modèle pas très top de pensée inique ? Une chose est certaine : avec cette piètre exhibition sur tapis rouge, elle a montré au monde entier comment passer de première dame à première dinde de France.