APRÈS L’ENFER, LE PARADIS ?
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À quelques encâblures de l’arrivée en Martinique, et après avoir traversé des parages beaucoup plus tourmentés, la flotte de la transat en double Jacques Vabre est contrainte à une grosse baisse de régime, rendant les derniers miles de la course encore plus éprouvants nerveusement. Un calme après la tempête qui tend à remodeler les valeurs, avec, pour les leaders, l’affreuse hantise de se faire voler la victoire sur le fil. Et vivre un véritable enfer dans ces eaux paradisiaques.