Ascenseur pour l’escabeau
La semaine dernière, en prenant l’ascenseur privé me conduisant auprès d’une personnalité très haut placée, bien au delà du troisième étage de la fusée Marianne, j’entendis avec stupéfaction une voix melliflue me susurrer « Tu montes, chérie ? »
Interloquée, je ne découvris aucun interlocuteur alentour ! Un œil jeté à droite, une oreille à gauche, ma langue dans ma poche et mon cerveau refusant de la donner à un quelconque mistigri des beaux quartiers, je m’interrogeai quant à la provenance de (suite…)