PARADE  –  RIPOSTE

Plutôt que de menacer de lui envoyer une ogive nucléaire sur la tronche, Trump ferait mieux de parachuter en Corée du Nord deux ou trois bombes sexuelles made in USA. Ça calmerait peut-être pas Kim Jong Ill, mais ça ferait surement réfléchir tous les troufions de son armée.

LUNETTES  D’INSOLATION

Ah… le fantasme des lunettes qui déshabillent. Et celui des regards qui tuent ! Quand, par dessus le marché,  ça flashe sur ”She’s a Lady” de Tom Jones, on a du mal à ne pas clignoter des paupières.

CORRESPONDANCE

Alors que Paris tentait ce dimanche une journée (presque) sans voitures, un de mes amis en villégiature à la campagne expérimentait un nouveau type de ralentisseur devant sa résidence secondaire. Apparemment, le test s’est avéré très concluant. Un énorme facteur de satisfaction…

UNE  NANA  D’ENFER


Fran Drescher, l’inoubliable actrice et créatrice de la série tv américaine «The Nanny», alias «Une Nounou d’Enfer», vient de souffler ses soixante bougies. Ça ne nous rajeunit pas, mais ça ne nous inquiète pas non plus. Née le 30 septembre 1957 à New York, Francine Joy Drescher rêve très tôt de show business mais passe une enfance plutôt tranquille au sein d’une famille juive dont les racines ashkénazes plongent vers la Pologne et la Roumanie. Études sans problèmes (mais sans grande passion non plus) au Queens College, puis école de cosmétique jusqu’à l’ouverture de son petit salon de coiffure… elle prend tout de même quelques cours de théâtre et fréquente régulièrement les castings.  (suite…)

SINGING  IN  THE  RAIN

Et allez ! À nouveau la pluie, le vent, l’orage, la grêle… Ça faisait longtemps.
À quand la montée de la Seine et la visite de Paris en gondole ?

MESSAGE  AU  FUTUR  PRÉTENDANT


Ces derniers temps, lorsque je croisais ma petite voisine en train de chanter un refrain pourtant très connu, j’avais bien du mal à comprendre les derniers mots que sa voix d’enfant égrenait. Un coup d’œil sur son nouveau t-shirt arboré fièrement ce week-end m’a définitivement éclairé.

UNIVERSELLE


Ce qu’il y a de bien avec la danse, comme avec la musique, c’est qu’il n’y a pas besoin de mots pour exprimer ce que l’on a, ce que l’on est à l’intérieur. Et la prime à la diversité fait rejaillir à l’extérieur une humanité universelle.