DE  JOUR  COMME  DE  NUIT

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Il y a des étoiles qu’on ne voit pas au premier coup d’œil, mais qui brillent au dessus de nos têtes et de nos projets, de jour comme de nuit (et même entre les deux), sur le fil d’un rêve éveillé. On sait qu’elles sont là parce que les choses finissent par arriver et que les rencontres sont le point de départ, la clef de voûte des idées réalisées. À l’opposé des étoiles d’un jour, il y a “l’étoile du jour” et ce singulier fait toute la différence.

L’Étoile du jour s’est posée sur les écrans parisiens mercredi 26 septembre 2016. Elle scintille tout particulièrement au 7 Parnassiens (98 Boulevard du Montparnasse, 75014 Paris), au Publicis Champs-Élysées (129 avenue des Champs-Elysees, 75008 Paris) ainsi qu’au Reflet Médicis (3 rue Champollion, 75005 Paris). (suite…)

Automne romantique…             Romantic autumn…

L’été indien s’en va. L’automne est vraiment là. Avec ses grands sentiments, ses poètes au bord du lac, ses crépuscules mélancoliques et ses serments ô combien idéalisés.
Que vive à jamais son élan romanesque !

dany-x-2(Grand merci au dessinateur Dany)

BRIGITTE  BORÉALE  EN  IGGY  POP

AU  GRAND  JOURNAL  DE  CANAL +

iggy-2AVEC SOPHIE BLONDY  Réalisatrice du film L’ÉTOILE DU JOUR

Pour voir l’émission, copier et activer les liens ci-dessous.

http://player.canalplus.fr/#/1417152               (1ère partie)
http://player.canalplus.fr/#/1417161               (2ème partie)

Shopping with Cindy
Les courses de mon amie Cindy

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What’s the matter ?
I’m just going to do some shopping before the supermarket will be closing !
So what ?

Ben quoi ?
Je m’en vais simplement faire mes courses du week-end au super-marché du coin juste avant que ça ferme !
Je vois vraiment pas ce qu’il y a de spécial…

MOBILIS  IN  MOBILE

À proximité des côtes de Baja, en Californie, ou dans la mer de Cortés, au large du Mexique, des dizaines de milliers de raies Mobula ont l’habitude de se rassembler en masse puis de disparaître aussi soudainement qu’elles sont apparues. Les scientifiques peinent à trouver une explication précise à ce phénomène spectaculaire.

(suite…)

Tout est parfait dans ce PostModern Jukebox.
Le délicat snapping d’intro et le pont de l’insolite relais contrebasse à quatre mains. La répartition des personnages dans l’espace. La prestation scénique et musicale de ce nonette peu commun. Sa triple composante féminine pour le moins enjouée. Les robes jungle fashion et leurs ondulations suggestives, les mains sur les hanches et les œillades complices… Un peu plus que de la musique dans tout cela.
Accélération rythmique via contrebasse à quatre mains. Clarinettiste zaninien en retrait, trombonniste lunaire, pianiste et batteur aussi présents que distants… et ces trois grâces minaudant leur langoureux swing à la perfection, dans le ton et la séduction absolue, jusqu’au déhanché final…
Trio synchro de barbie girls méli-mélomanes avec lequel on aimerait se perdre et juste après se retrouver… Tout au long cette sensuelle ligne de basse.
Tels des contre-points de suspension.
All About That Bass…