VÉRIFICATION DU MATÉRIEL
Préparatifs pour un beau dimanche de pêche chez mon voisin…
Il pousse peut-être le bouchon un peu loin.
Clic pour la photo, clap pour la vidéo. De ce tiroir émergent toutes les inspirations issues de l’image, figée ou animée. Photographies et films déclenchent en nous des impressions et des expressions diverses. À partir des unes ou des autres, j’esquisse quelques trames personnelles. Ce compartiment est une chambre de couleurs qui dispose d’images pour révélateur et de textes pour fixateur.
Je me posais pas mal de questions sur la pertinence et la pratique de l’auto-test. Ma chère amie Stéphanie vient de me rassurer. Ses quatre premiers auto-tests ont été couronnés de succès. Tout s’est admirablement bien passé… peut-être juste quelques petits étourdissements et une vague sensation de confusion dans les heures qui suivent. Comme un léger état cotonneux.
I had a lot of doubts about the pertinence and use of self testing. My dear friend Stephanie just comforted me. Her 4 first self tests were successful. Just some giddinesses and some kind of confusion shortly after. A cloudy feeling…
Tiens ? Un moule à gaufres et une poêle à frire… Mais où ont-ils bien pu mettre les manches ? Décidément, tout se perd dans une aristocratie qui n’est plus du tout ce qu’elle était. D’ici à ce qu’on lui tourne le dos en s’asseyant sur les privilèges et en faisant fi des particules… et non pas l’inverse, au risque de ne jamais retrouver les éléments manquants à ces deux précieux ustensiles.
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30, 100, 200, 300, 500 km… Apparemment, les attestations de sortie ne sont plus obligatoires. Mon copain Jo, qui s’est beaucoup déplacé ces derniers temps, me l’a confirmé. Luxembourg, Suisse, Allemagne, Belgique, puis retour à Paris ; tout s’est admirablement bien passé pour lui. Il n’a eu à présenter aucun justificatif d’aucune sorte. Il m’a assuré que les représentants des forces de l’ordre qu’il avait croisé lors de ses nombreux déplacements avaient été très gentils et très compréhensifs avec lui.
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Je connais un ami pêcheur à la ligne qui passe un temps fou à collecter des vers de terre d’un calibre idéal pour aller ensuite taquiner le poisson en bord de rivière ou d’étang. Selon lui, la taille de l’appât est primordiale. Le lombric ne doit pas être trop petit, ni trop grand. Il doit être adapté aux prises envisagées : friture ou gros poissons. Toujours selon lui, l’erreur à ne pas commettre serait de choisir un ver trop imposant, qui, à coup sûr, rebuterait la tanche ou le goujon… « Le but du pêcheur n’a jamais été d’effrayer le poisson », ajoute-t-il, catégorique. Tant au sujet de la taille du lombric que du principe de pêche, la vidéo ci-dessus semblerait prouver exactement le contraire.
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Cela pourrait s’appeler “Œufs de Pâques, suite et fin”, ou encore “Couvée Spéciale”. On ne s’en est pas rendu compte tout de suite, mais c’est aujourd’hui devenue une évidence indéniable : la danse des canards et gangnam style ont eu une descendance hybride fin 2014 ! (suite…)