PRÉCAUTION D’USAGE
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Chaque fois que ma fille adorée entame une nouvelle relation, je lui offre un nouveau T-shirt…
Une sorte d’attention paternelle qui a valeur d’avertissement liminaire.
On aime que les choses soient claires dans la famille.
Clic pour la photo, clap pour la vidéo. De ce tiroir émergent toutes les inspirations issues de l’image, figée ou animée. Photographies et films déclenchent en nous des impressions et des expressions diverses. À partir des unes ou des autres, j’esquisse quelques trames personnelles. Ce compartiment est une chambre de couleurs qui dispose d’images pour révélateur et de textes pour fixateur.
À force de filer le bac à tout le monde, celui des fruits et légumes déborde d’incongruités baignant dans leur jus 100 % dégradable. Le français est certes une langue vivante, mais cette évolution hystérique lui fait aujourd’hui friser l’apoplexie… Et bientôt manger les pisse au lit par la racine.
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Marcel n’a jamais fait dans la dentelle, et c’est pour ça qu’on l’aime. En un dix minutes express, il nous livre sa vision des choses à propos de l’affaire Epstein. On savait que les gros de ce monde (et non les grands, car il n’y a jamais eu aucune grandeur chez ce type de personnages) étaient bien vérolés par l’argent, mais le cercle vicieux prend des proportions de plus en plus effrayantes. Comment imaginer qu’autant de vieux vicelards, et de vieilles roulures, puissent continuer à dominer le monde par des procédés aussi répugnants et des politiques aussi abjectes ?
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Les Français ont eu Rémy Bricka dans les années 1970. Aujourd’hui, les Suédois peuvent compter sur Anders Flanderz pour perpétrer la tradition de l’homme orchestre dans toute sa fantaisie et son exubérance. Comme son prédécesseur alsacien, cet artiste de rue sait s’attirer la sympathie d’un large public, toutes classes d’âge confondues. Il sévit régulièrement dans les rues de Stockholm, mais commence également à faire des apparitions remarquées sur les plateaux de télévision. Avec sa bobine de joyeux hurluberlu et ses instruments savamment bricolés, il surfe sur un répertoire pop allant de Bob Dylan à Mickael Jackson, en passant par Abba, Cindy Lauper ou Aha, mais peut aussi s’attaquer à du classique, notamment Beethoven, ou à des thèmes musicaux issus du cinéma tels ceux d’Harry Potter, Ghostbusters ou Stars War. Il revisite également des incontournables (Popcorn, Kalinka, the Final Countdown…) dans des versions évidemment très personnelles. En 2018, lors d’une incursion en terre britannique, il s’était même payé le luxe de reprendre le célèbre Nowhere Man des Beatles… au cœur de Liverpool ! Cher Anders, nous attendons avec impatience ta venue à Paris. Si, par les temps qui courent, tu pouvais un peu dérider notre bonne vieille capitale française, nous t’en serions très reconnaissants.
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COMPLICITÉ ET MAJESTÉ À L’ÉTAT PUR !