THE END OF THE WEEK-END
Le retour d’un week-end prolongé est toujours un peu déprimant. Tout a passé trop vite. Ce qu’on voyait briller devant s’évanouit déjà derrière. Quand la voiture quitte la campagne verdoyante pour rejoindre, sous un ciel menaçant, la ville maussade et ses murs gris, monte alors un spleen irrépressible. Dans quelque pays que ce soit, on en revient toujours aux mêmes plaintes et nostalgies entonnées du fond du cœur. Avec cette traduction universelle : quelle vie de chien !