MON SON DE CLOCHE À PROPOS DE PÂQUES

Et pourquoi les cloches elles s’envolent ? Et comment le lièvre il peut pondre des œufs ? Et pourquoi ça se passe jamais à la même date ? Parce que, Paaske, Pask… Pâques, en écossais, suédois ou danois, ça se prononce Paske. En espagnol et en italien Pasqua, comme Charles. En roumain, Pasti, sans s mais comme Charles aussi.

Vous allez penser que j’exagère, mais en réalité, cette affaire-là, c’est encore une sacrée histoire de transformation. Comme beaucoup de fêtes religieuses, Pâques fut d’abord une fête païenne, marquant le retour du printemps, au plus tôt le 22 mars, au plus tard le 25 avril. Question de pleine lune et d’équinoxe du printemps. C’est pour ça que ça change tous les ans. (suite…)

NOM  DE  ZEUS !

À l’heure où nos hommes politiques s’escriment à choyer leur popularité et les courbes qui vont avec, Brigitte Boréale met les siennes au service de la diplomatie internationale. Elle a entamé un voyage secret en Grèce afin de redresser la situation hellénique et proposer une règle de Troie qui devrait définitivement mettre un terme (d’où sa politique pro-thermalisme) au feuilleton de la dette publique de ce beau pays. L’athénuation de la crise devrait rapidement se faire sentir de Lesbos à Mykonos en passant par Fetapolis (d’où la politique du ‘’Fais ta police toi-même’’). Christine Lagarde et le FMI peuvent aller se rhabiller.
On voit ici Brigitte Boréale en train de finaliser une négociation tripartite avec des émissaires de Sparte, juste avant de poursuivre par une exploration plus en profondeur du Péloponnèse et de terminer son odyssée personnelle sur le mont Olympe.

PANOPLIE



Plusieurs d’entre vous ont repéré la sandale revolver qui a illustré l’article édité hier dans ces colonnes,  sous le titre « Dilemme – Les temps changent ». Son charme bang bang plutôt que bling-bling a fait mouche mais une question s’est immédiatement posée : avec quel accessoire l’assortir sans que cela détonne et sans se tirer une balle dans le pied sur le plan financier ?

Nous vous fournissons la réponse avec ces diverses illustrations, qui sont autant d’options mises au service de votre arsenal chic et choc. Une arme de séduction lascive…
À double détente, évidemment.

DILEMME


Les températures font du yoyo et le soleil joue à cache-cache derrière les nuages. Par ces temps très changeants, on ne sait plus à quelle paire d’escarpins se vouer. Nous voici plongées dans la plus grande perplexité. Que choisir ? Quelle option privilégier ? Cruel dilemme, choix cornélien, casse-tête existentiel… il n’y a pas de mots assez forts pour définir cette trouble torture qui nous taraude l’esprit et devient notre talon d’Achille en ces jours indécis. Un coup à se flinguer…


LES  PAVÉS  DES  BONNES  INTENTIONS

On l’appelle toujours Paris-Roubaix. Sa 115ème édition se déroule en ce dimanche 9 avril 2017, mais en réalité cette course relie aujourd’hui la ville de Compiègne au vélodrome de Roubaix. D’une longueur totale de 257 km cette année, la reine des classiques est réputée dans le monde entier pour ses redoutables secteurs pavés, dont la fameuse Trouée d’Arenberg. Au total, 55 km de vibrations et de soubresauts dantesques pour la présente édition, riche de 29 tronçons pavés qui sont autant de juges de paix pour orchestrer le dénouement final. Il faut vraiment en vouloir, avoir une certaine rage de vaincre, et pas mal de chance aussi, pour arracher la victoire finale. Rien à voir avec les petites reines qui s’y promènent plus tranquillement au cours des randonnées ensoleillées de l’été…


UN  JOLI  BRIN  DE  CAUSETTE

                                   © William Beaucardet ,   pour Causette.


Entre Causette et Brigitte Boréale, c’est une histoire de presque dix ans. Des noces d’étain un peu allumées. La première étincelle fut briquée par un petit kiosquier du douzième arrondissement, aujourd’hui disparu. « Vous qui aimez les trucs un peu ‘’borderline’’, me dit-il, vous devriez essayer Causette. C’est pas que j’en vends encore beaucoup, mais j’aime bien les personnes qui me l’achètent. Et moi qui ne lis pas souvent la presse féminine, je m’y suis laissé prendre deux ou trois fois… » (suite…)

UNE TRANSITION À 90 ANS !

Peter Davies est né en 1927 mais très tôt, vers l’âge de 3 ou 4 ans, il a su que son état civil n’avait absolument rien à voir avec son véritable genre. Il se sentait, il se savait femme mais ne pouvait s’en ouvrir à quiconque tant le sujet était tabou. En ce temps-là, la notion de transgenre telle qu’elle est admise aujourd’hui n’existait même pas ! (suite…)