UN DERNIER POUR LA ROUTE
Le Beaujolais nouveau est arrivé depuis plusieurs jours maintenant…
Mais certains n’en sont toujours pas revenus !
On connaissait déjà les petits rats de l’opéra ; hâtez-vous de découvrir les nouveaux chatons de sacristie. Le compositeur italien Gioachino Rossini aurait sans aucun doute beaucoup apprécié cette interprétation astucieuse et très insolite de son fameux « duetto buffo di due gatti ». Insolite par la volonté de décaler cette œuvre enjouée dans un cadre religieux traditionnel (une église), mais insolite aussi par la qualité vocale et l’application impeccable des deux petits chanteurs alors que fusent les rires du public. Eux gardent leur sérieux sans rien perdre de la fantaisie distillée dans cette partition. (suite…)
Depuis samedi 19 novembre 2016 à 22h58, la capsule Soyouz (avec le Français Thomas Pesquet à son bord) s’est amarrée à la Station spatiale internationale (ISS), qui tourne autour de la terre à la vitesse de 28.000 km/h, à environ 400 km au dessus de nos petites têtes. (suite…)
UNE DÉFENSE FRANÇAISE ENCORE TROP TENDRE ET UNE EFFICACITÉ AUSTRALIENNE ENCORE DÉTERMINANTE, TELS SONT LES POINTS ESSENTIELS À RETENIR APRÈS CE FRANCE-AUSTRALIE DU SAMEDI 19 NOVEMBRE 2016. CETTE RENCONTRE A ÉTÉ CELLE DES ENTAMES DE MATCH MANQUÉES POUR LES TRICOLORES, CONDAMNÉS À N’ÉVOLUER DÈS LORS QUE DANS LA RÉACTION. LEURS TENTATIVES DE REVENIR AU SCORE PUIS D’INVERSER LA TENDANCE (CE QUI FAILLIT ÊTRE FAIT AU COURS DES ULTIMES SECONDES, AVEC UN DROP DE LA DERNIÈRE CHANCE MALHEUREUSEMENT STÉRILE) ONT ÉTÉ LOUABLES MAIS BIEN TROP TARDIVES ET ALÉATOIRES.
LE SCORE DE 23 À 25 EN FAVEUR DES WALLABIES, AUSSI SERRÉ QUE LES CORPS À CORPS AYANT LIGOTÉ LA PARTIE, ACCENTUE ENCORE LES REGRETS BLEUS…
EN ATTENDANT LES ALL BLACKS.
Le regard ; tout dépend toujours du regard. Celui des autres mais aussi celui que l’on porte sur soi. Celui des photos, anciennes ou nouvelles, mais aussi celui du théâtre quotidien de la vie. Tous les regards qui nous concernent modifient nos angles de vision, nos axes de réflexion. Le cinéma que l’on se fait à soi-même ou celui que l’on fait devant les autres n’est qu’une succession de regards, figés ou animés, intérieurs ou extérieurs. Double vie, double vue, le troisième genre les oriente et les aimante différemment.
De la politique, encore de la politique, toujours de la politique. Entre l’élection tonitruante du nouveau président américain Donald Trump et le démarrage désordonné des primaires de la droite française, en passant par les affaires en cours à propos de financements pas très clairs, il n’y en a plus que pour les sujets de campagne. On ne parle même plus du Vendée Globe, pourtant si médiatique au moment de son départ, le dimanche 6 novembre 2016. On en vient à se demander ce que les organisateurs de cette course autour du monde en solitaire et sans escale vont bien pouvoir trouver pour relancer l’intérêt du grand public…
À chacun et chacune sa façon de fêter l’armistice. Larme à l’œil ou l’arme au pied. Moi, je préfère l’armistice façon Artémis, cette déesse de la chasse dans la mythologie grecque (la Diane des Romains), protectrice des chemins, des ports, des jeunes enfants et des bébés animaux, bref de tout ce qui initie et définit une nouvelle trajectoire, une nouvelle aventure, une nouvelle perspective. Parée des attributs qui la caractérisent : arc en or, flèches, carquois, croissant de lune et biche, lorsqu’elle se met en chasse, rien ne résiste à cette déesse farouche et sœur jumelle d’Apollon. (suite…)
Donald en train de fêter sa victoire à bord de son yacht… L’électorat féminin américain n’est vraiment pas rancunier. Ou alors il est un peu Alzheimer. On un peu masochiste. Ou un peu tout ça à la fois ?
Donald is celebrating his triumph aboard his luxury yacht. Women voters in the United States don’t know how to hold a grudge. Or they have Alzheimer’s. Or they are masochists. Or maybe all of the above ?